11 mars

Des semaines d'information sur la santé mentale...

Une dizaine de manifestations a été programmée en Haute-Loire dans le cadre des " Semaines d'information sur la Santé Mentale " qui débutent ce mardi du 11 mars, et qui se déroulent jusqu'au 22. La 25è édition va être relayée sur le département par le Centre hospitalier Sainte-Marie, l'UNAFAM, et le groupe d'Entraide Mutuelle La Galaxie. Objectif : faire évoluer les stéréotypes du grand public vis à vis des troubles psychologiques et psychiques...

Théâtre, lectures croisées, soirée cinéma-débat, piste d'orientation...différents événements vont être organisés en Haute-Loire, dans le cadre de la 25è édition des " Semaines d'information sur la Santé Mentale ", qui se déroulent à partir de ce mardi 11 mars, et jusqu'au 22. Ils vont être proposés au Puy-en-Velay, à Sainte-Sigolène, et à Brioude, à l'initiative du Centre hospitalier Sainte-Marie, et d'une vingtaine de partenaires, pour beaucoup extérieurs au monde la psychiatrie.

Au cours de cette 25e édition des SISM, les thématiques suivantes seront abordées :

• Comment faire évoluer les stéréotypes du grand public vis-à-vis des troubles psychiques ?

• L’utulisation d’Internet permet-elle de mieux s’informer, se soigner et s’entraider ?

• Comment aider les médias à participer à l’informaon et à la lu e contre la stigmatisation ?

• Comment favoriser le partage d'information et d'expériences par et pour les personnes vivant avec des problèmes de santé mentale et leurs proches ?

Si certaines pathologies font l'objet de campagnes de sensibilisaon régulières, il n'en est pas de même pour les troubles psychiques. Pourtant ils touchent près d'un quart des français. Et la santé mentale fait pare des cinq priorités de santé publique annoncées dans la récente Stratégie nationale de santé. Les préjugés négatifs liés aux questions de santé mentale restent très présents dans l'imaginaire collectif et se trouvent souvent renforcés par des faits divers à fort impact médiatique. Les journalistes ont un rôle essentiel à jouer pour informer la population et lu er contre la stigmatisation. Mais ils sont souvent démunis tant le champ de la santé mentale est complexe et diversifié.

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